A force de vouloir être deux... céder à l'angoisse de la solitude, en calculant qu'au moins une personne compatirait à notre situation, nous réconforterait dans les moments difficiles (à la condition que ces difficultés ne remettent en cause ni la relation, ni soi-même)... J'étais bien.
Et au milieu de ce bien être, ou - devrais-je dire - de ce bonheur, j'ai douté. J'ai eu le sentiment que ce chemin n'était pas celui que je devais emprunter, et je me suis arrêté, incapable de poursuivre avec enthousiasme. Est-ce ma faute ? A-t-elle senti ce doute qui faisait frissonner mes mots, mes actes, qui nous a désassemblés ? Dans la rencontre de son propre doute, peut-être ?