Je me suis arrêté en cours de chemin dans la rédaction du Grand réveil pour des raisons personnelles : la recherche d'un travail et la rencontre d'une certaine personne m'en ayant distrait et m'ayant donné mauvaise conscience à écrire. Mais il y avait également une impasse d'écriture qui était que je connais très peu le milieu que je veux décrire, d'autant plus que je veux le faire sur le mode burlesque. Ce n'est pas possible. La solution serait que 1) on laisse la première partie racontée comme elle est 2) dans la deuxième partie, l'histoire est racontée par SF à quelqu'un qu'on ne connaît pas, une amie chez qui elle prend le thé, et elle raconte des ouï-dires sur ce qui se passe à Londres 3) pour la suite, on verra - sur mode de récit de BS (Barbara/Bertha Stin) ?