lundi 29 novembre 2010

Schwergefasster Entschluss

Ce rêve dans une ville imaginaire avec, d'un côté, une cité un peu poussiéreuse, une rue animée avec beaucoup de jeunes, qui marchaient un verre à la main, le long d'une palissade, et, en continuant en contrebas, on arrivait dans un grand quartier de villas de style "wiesbadenoises", aéré et bourgeois. Nous y avions notre appartement, avec Della Rovere, ainsi que Kedi - mais un faux appartement. Il y était question d'une rencontre avec le président dJP, dans le premier quartier, puis nous rentrions à la maison, où rien ne se passait comme prévu.
Il y était question d'atteinte, d'abandon. Il suffit de peu de choses: un bras sur l'épaule, une main timidement posée sur l'avant-bras, décision lourdement pesée...