Ce rêve dans une ville imaginaire avec, d'un côté, une cité un peu poussiéreuse, une rue animée avec beaucoup de jeunes, qui marchaient un verre à la main, le long d'une palissade, et, en continuant en contrebas, on arrivait dans un grand quartier de villas de style "wiesbadenoises", aéré et bourgeois. Nous y avions notre appartement, avec Della Rovere, ainsi que Kedi - mais un faux appartement. Il y était question d'une rencontre avec le président dJP, dans le premier quartier, puis nous rentrions à la maison, où rien ne se passait comme prévu.
Il y était question d'atteinte, d'abandon. Il suffit de peu de choses: un bras sur l'épaule, une main timidement posée sur l'avant-bras, décision lourdement pesée...