¡Ces propositions flatteuses (qui contredisent mon jugement sévère) n'arrivent jamais à point nommé, au milieu d'obligations professionelles (on se serait cru dans la Nuit de Georges), lorsque je cours dans les transports publics, des dossiers à la main, sans même le choix de choisir - "que puis-je y faire?" aurait demandé le vieux Khayyam*!
Cela me rappelle une vieille histoire madrilène que j'avais jugée sans avenir, et qui, réflexion faite, aurait probablement donné lieu à de bons souvenirs, ou qui aurait au moins pu me fournir une solution d'hébergement en urgence au moment où les amis et les technologies m'avaient lâché! C'était avant le smartphone, avant l'euro, quand tout était bien plus compliqué. Quelle époque préhistorique! Aujourd'hui nous nous serions bippés, "likés" sur Facebook, suivis sur Twitter, et l'affaire aurait été dans le sac (charmante expression).