À un moment, il y a quelques semaines, je l'ai pensé. Mais c'est un état impermanent (contrairement à ce que suggère le "ser feliz" de la langue espagnole). Plus le temps passent, plus les regrets s'accumulent, et plus les frustrations grandissent - car le champ des possibles se réduit, et remettre à demain devient une pratique incertaine. Mais les objets de nos regrets et de nos frustrations perdent aussi de leur valeur.