Ces affaires de Trajan et de Graubünden me font penser que j'aurais pu me satisfaire de telles relations dans le temps futur. Ce qui m'y a fait renoncer, l'angoisse du "vécu", est sans doute quelque peu caduc. Pourtant je continue à œuvrer pour mes vieux jours, à vouloir finir entouré d'enfants joyeux et insouciants.
Quelquechose me dit que tout cela une mauvaise stratégie, qu'il ne faut penser qu'à soi et à son bien-être présent. La vie est sans doute plus ironique et tortueuse que nos petits calculs; quant à ma propre mort, ce n'est pas forcément un sujet qui m'inquiète.