lundi 28 octobre 2013

Des yeux trop familiers

Panique soudaine à l'idée que l'imprimante temporairement bloquée recrache les brèves en mon absence, les laissant à la merci d'yeux trop familiers... J'ai déjà dit ce que je pensais du risque que l'on découvre ces brèves - et ce ne serait sans doute pas une catastrophe insurmontable.
C'est sans doute ce qui distingue le vrai artiste de l'écrivaillon du dimanche: un vrai artiste n'hésiterait pas à s'exposer, à exposer ses sentiments, son essence, quel qu'en soit le prix à payer. Et cette impudicité pourra lui coûter très cher! Quant à moi, comme d'habitude, je veux "le beurre et l'argent du beurre", et je n'aurai que la peine de la baratte, une production vite rancie, et les coups de la crémière!